Bonjour à toutes et tous,
Eh oui, déjà le dernier numéro de ma pointCOM, la fin de mon année de gouvernorat se rapproche à toute vitesse !
Sincèrement je n’ai pas vu passer cette année : déjà, dans mes rêves les plus fous, jamais je n’aurais imaginé que cette pandémie continue aussi longtemps à nous contraindre, hommes et femmes de notre pays et du monde entier ! Inédit, impensable, inenvisageable, incroyable, contraignant, inquiétant… mais malheureusement bien réel !
Alors, en ce moment, je suis partagé : d’un côté, j’entends, j’écoute toutes celles et tous ceux qui sont désespérés devant la situation, qui sont meurtris par les conséquences souvent financières, comment ne pas penser aux soi-disant commerces non indispensables fermés pendant de longs mois, le monde de la culture à l’arrêt, les étudiants désemparés, souvent sans ressources par disparition des petits boulots si indispensables pour payer leurs études…